La saga (TM)
Harceler jusqu'à la fermeture.
Ce n'est pas de la poésie.
Ce n'est pas de la poésie.
« D'abord, ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, ensuite ils
vous combattent et enfin, vous gagnez. » Gandhi
Il est d'autres combats
Que le feu des mitrailles
On ne se blesse pas
Qu'à vos champs de bataille
disait Barbara
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De quoi je parle Tony?
Avoir mal
même avoir raison
vouloir dénoncer
combattre
Dire
donne-t-il le droit de faire taire?
De quelle vérité
la victime qui s'érige en juge
aussi implacable que ce dont elle dit souffrir
peut-elle alors se réclamer?
Voir
même clair
meême dur
donne-t-il le droit de décider
du regard des autres?
Porter sa guerre partout
n'est-ce pas envahir, vouloir détruire
imposer son propre règne
faire plier?
Ah! Le terrible besoin
de se faire dire
"Pardon. Tu avais raison"
De quoi je parle mon ami?
De blessures qui deviennent poisons
De douleurs qui se muent en meutes aveugles
De l'épouvantable et mortelle démesure
de croire que l'on sait.
Seul
Quite à raser
l'Univers entier.
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Tu n'écoutes pas.
Tu ne réponds pas ce que j'essaie de te dire.
Ou tu pastiche, effets de manche, qui ne me sont pas vraiment adressés.
Tout entier à ta douleur
tu te vautres dans une poésie indigne de toi.
Alors je vais lâcher la poésie.
Quand, dans un blog réouvert, j'écris:
"Content de te relire Marie",
Sous mes mots s'inscrivent:
"Ey.. On s'amuse icitte c'est effrayant!"
C'est moi, et les autres, coupables de je ne sais quel turpitude que tu attaques, et je me demande bien pourquoi.
Quand l'autre ne peut plus recevoir, parce que sous le vomissement de ta colère elle ferme ses portes..
Tu fais taire Tony. Aussi sûrement que si tu pouvais blocusser Cuba. Tu censures. Tu décides. Tu juges.
Ne te défiles pas de l'effet de ta violence.
C'est toi qui manipules. Pire encore . Sans te l'admettre.
Je répète. Ta colère m'est trop familière pour m'empêcher ni de la comprendre, ni de bien te voir.
Mais ne me prends pas pour un con.
Quand je t'écris, je sais ce que je te dis, j'aimerais retrouver chez toi l'honnêteté que j'ai connu d'abord.
Qui te permettra, je l'espère, de te retrouver de l'autre côté de cette horreur.
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