Décrochage blogaire
Je déblogue un peu c'est vrai, je l'avoue.
Pourtant je ne me résous pas à cliquer sur le gros bouton rouge.
Celui intitulé :"Delete that blog"....
Aurais-je encore à dire?
Va savoir...
Pourtant je ne me résous pas à cliquer sur le gros bouton rouge.
Celui intitulé :"Delete that blog"....
Aurais-je encore à dire?
Va savoir...
Je n'ai jamais compris le phénomène du suicide bloguestre...
Tu ne vas pas te couper la langue parce que tu ne sais pas quoi dire maintenant??? Et si demain tu as envie de parler, tu vas faire quoi???
J'appuie Coyote.
Quand je cesse de parler, je ne tais pas ce que j'ai dit avant... (je suis pas sûr de me suivre, là...)
Comme si le blogue, ce qu'on y écrivait, n'existait que dans le moment présent. Déblogue le temps qu'il te faudra, on attendra. Mais delete?
Je ne vois pas le blog (du moins le mien) comme une "oeuvre", comme un livre par exemple.
Si j'écrivais un livre et que je ne l'aimais plus, je ne passerais pas les exemplaires au pilon, j'en écrirais un autre...
Tsut tsut tsut ! Pas détwi're blogue.
«Aurais-je encore à dire?» Ben, c'est vous le boss. Mais considérez un peu le pur égoïsme des autres, le mien en tout cas, moi qui vient à peine de vous repérer. J'ai encore à vous lire. Et ce qui vous semblera fané donne encore à penser. Quant au silence, il ne me gêne pas. Il dit autrement les herbes, le vent, le sable, les couleurs vivantes de ce blogue.
Bonjour Betrand. Long time no see. (sourire) Oui, la lassitude vient de temps à autre, quand les mots sont insuffisants.
Coyote a cependant le mot juste: "Quand je cesse de parler, je ne tais pas ce que j'ai dit avant." J'ai détruit le passé et j'ai regretté sa destruction.