Mourir quand tout est en train de naître et renaître m'apparaît plus sublime que souffrant. L'idée de partir pour laisser la place à des beautés naissantes a quelque chose d'aérien; j'y vois le côté plus «délivrant» de la mort.
Réponse théorique à question du même genre Bertrand ! À moins d'un suicide, on ne peut pas vraiment imaginer la souffrance de sa mort, et encore... on ne peut pas tout prévoir là non plus. En extrapolant naïvement sur votre réponse, vous voulez crever de chaleur ? ;-)
Ça dépend... si tu meurs subitement, tu n'as pas le temps d'en souffrir!?
p.s: Ok, elle est plate.
Pas sûr que Manon Brunelle aurait posé la même question... Mais bon, vrai qu'au deuxième niveau, c'est triste de mourir alors que tout renaît.
Ben moi, j'ai déjà vu un ti gars tomber à califourchon sur la barre transversale du vélo de son père... Mais c'était l'été...
Mourir quand tout est en train de naître et renaître m'apparaît plus sublime que souffrant. L'idée de partir pour laisser la place à des beautés naissantes a quelque chose d'aérien; j'y vois le côté plus «délivrant» de la mort.
Si je te comprend bien Daniel , tu nous parle ici de mort "cérébrale"....?
Marguerite, la théorie est séduisante mais la pratique...
Moi je voudrais mourir dehors en plein jour par une apres-midi d'été chaude et ensoleillée...
Mourir avant ou pendant que tout revient à la vie, c'est égoïstement, un peu "dur à prendre"...
Remarquez, je suis pas pressé anyway...
Réponse théorique à question du même genre Bertrand ! À moins d'un suicide, on ne peut pas vraiment imaginer la souffrance de sa mort, et encore... on ne peut pas tout prévoir là non plus.
En extrapolant naïvement sur votre réponse, vous voulez crever de chaleur ? ;-)
Chrysalide: on se comprend...
Mlle Rose: quelle belle mort en effet...
Naître jamais mort.